Juan Manuel Fernández Montoya, plus connu sous le nom de « FARRUQUITO« , arrive au Tablao Flamenco 1911 pour rendre hommage au roi du chant flamenco, Camarón de la Isla.
À cette occasion, Farruquito s’arrête à Madrid pour monter sur la scène du plus ancien tablao flamenco du monde. Une date unique qui coïncide avec la naissance de Camarón de la Isla, légende du chant flamenco. Cet événement sera l’occasion de se remémorer les moments inoubliables que Camaron a fait vivre à ce talentueux danseur. Une occasion unique de profiter du « capitaine » dans un espace réduit et exclusif.
Farruquito est l’héritier et le transmetteur du style de danse de son grand-père « Farruco« , dont l’art s’est transcendé pour devenir la principale référence pour les jeunes danseurs et les danseurs expérimentés. Il a débuté avec son grand-père à l’âge de cinq ans à New York. Depuis, il n’a cessé de se produire sur scène pour rendre hommage et faire sienne la marque de cette école héritée. À seulement 13 ans, il entame une tournée en Europe et au Japon, consolidant ainsi une carrière internationale qui laissera des traces.
Le meilleur danseur de flamenco d’aujourd’hui dansera les paroles les plus caractéristiques du meilleur chanteur de flamenco de tous les temps.
Les 2 et 3 août, le maestro nous offre deux nuits inoubliables dans le tablao le plus ancien du monde. Une expérience intime et puissante qui ne peut être vécue qu’en direct.
La passion porte des noms cette semaine au Tablao 1911. Préparez-vous à ressentir l'art dans sa forme la plus pure avec une distribution de luxe qui promet des nuits inoubliables au cœur de Madrid.
Cette semaine, l’un des noms les plus marquants du flamenco actuel brille à nouveau sur notre tablao : José Maya.
Il y a des musiciens qui ont du compás, et puis il y a Lucky Losada, qui EST le compás.
Cette semaine, le moteur de notre tablao porte son nom.
Dans le flamenco, on dit qu’un jeu “a du poids” quand il a des racines, de la vérité et du compás. Cette semaine, le jeu qui règne au Tablao 1911 est celui de David Cerreduela.
Il y a des danseuses qui apprennent le flamenco. Et puis il y a celles, comme Vanesa Coloma, qui l’ont dans le sang. Madrid coule dans ses veines et s’exprime à chaque coup de talon.
