Cordovan, danseuse et chorégraphe, nous offre un spectacle élégant avec une grande technique, un flamenco authentique.
Ana García Leiva, connue sous le nom artistique d’Ana Latorre, est née à Cordoue le 26 juin 1994 et est la fille de Nuria Leiva et Javier Latorre. Dès son plus jeune âge, elle montre sa passion pour la danse et décide de poursuivre une carrière artistique dans le monde du flamenco.
Pour développer son talent et ses compétences, Ana Latorre s’est formée à la danse espagnole et au flamenco à Malaga et à Cordoue. En 2012, elle termine sa formation dans la spécialité du flamenco au Conservatorio Profesional de Danza Luis del Río à Cordoue. Par la suite, elle s’est installée à Madrid, où elle a obtenu en 2018 son diplôme de pédagogie du flamenco au prestigieux Conservatoire supérieur de danse « María de Ávila ».
Ana a eu l’occasion de faire partie de spectacles avec des compagnies remarquables, participant à des productions notables telles que la première de « La Consagración » au Teatro de la Maestranza, une œuvre de la compagnie Estévez y Paños ; « Siempre Antonio » aux côtés d’Antonio Márquez ; « Duende », présenté aux Jardines del Generalife sous la direction de Manuel Liñán et La Moneta ; « Fatum » et « A ese chino no le canto » avec la compagnie du danseur japonais Shoji Kojima, parmi d’autres projets remarquables.
D’autre part, depuis 2015, Ana Latorre a captivé le public national et international en tant que soliste, se produisant dans des tablaos prestigieux dans divers pays. Son talent et sa passion pour le flamenco ont été largement reconnus, ce qui lui a permis de se produire sur des scènes renommées et de gagner l’appréciation des critiques et du public.
Pour en savoir plus sur Ana Latorre : Biographie Ana Latorre
Les 2 et 3 août, le maestro nous offre deux nuits inoubliables dans le tablao le plus ancien du monde. Une expérience intime et puissante qui ne peut être vécue qu’en direct.
La passion porte des noms cette semaine au Tablao 1911. Préparez-vous à ressentir l'art dans sa forme la plus pure avec une distribution de luxe qui promet des nuits inoubliables au cœur de Madrid.
Cette semaine, l’un des noms les plus marquants du flamenco actuel brille à nouveau sur notre tablao : José Maya.
Il y a des musiciens qui ont du compás, et puis il y a Lucky Losada, qui EST le compás.
Cette semaine, le moteur de notre tablao porte son nom.
Dans le flamenco, on dit qu’un jeu “a du poids” quand il a des racines, de la vérité et du compás. Cette semaine, le jeu qui règne au Tablao 1911 est celui de David Cerreduela.
Il y a des danseuses qui apprennent le flamenco. Et puis il y a celles, comme Vanesa Coloma, qui l’ont dans le sang. Madrid coule dans ses veines et s’exprime à chaque coup de talon.
