Comme on le dit dans les contes de princesses et de princes, la légende raconte que le roi Alphonse XIII avait l’habitude d’entrer dans le Tablao par les passages qui reliaient les zones réservées du sous-sol du tablao et du Palais Royal afin de ne pas être vu ouvertement par le peuple.
Si nous ouvrons la porte qui donne accès à ce passage, nous pouvons voir qu’il y avait trois galeries, bien qu’aujourd’hui elles soient complètement murées, à l’exception de celle du Palais, qui a une petite porte qui peut à peine accueillir une personne. Incroyable, n’est-ce pas ?
Une autre a conduit à la Plaza de Neptuno, où l’on trouve les hôtels de luxe historiques Palace et Ritz, et par laquelle on imagine que les « señoritos » avancent à l’abri des regards indiscrets.
Le troisième, maintenant muré, on ne sait pas exactement où il va.
Comme vous pouvez le constater, il y a encore beaucoup de secrets à découvrir et de nouvelles anecdotes à créer au Tablao Flamenco 1911, la cathédrale du flamenco à Madrid.
Les 2 et 3 août, le maestro nous offre deux nuits inoubliables dans le tablao le plus ancien du monde. Une expérience intime et puissante qui ne peut être vécue qu’en direct.
La passion porte des noms cette semaine au Tablao 1911. Préparez-vous à ressentir l'art dans sa forme la plus pure avec une distribution de luxe qui promet des nuits inoubliables au cœur de Madrid.
Cette semaine, l’un des noms les plus marquants du flamenco actuel brille à nouveau sur notre tablao : José Maya.
Il y a des musiciens qui ont du compás, et puis il y a Lucky Losada, qui EST le compás.
Cette semaine, le moteur de notre tablao porte son nom.
Dans le flamenco, on dit qu’un jeu “a du poids” quand il a des racines, de la vérité et du compás. Cette semaine, le jeu qui règne au Tablao 1911 est celui de David Cerreduela.
Il y a des danseuses qui apprennent le flamenco. Et puis il y a celles, comme Vanesa Coloma, qui l’ont dans le sang. Madrid coule dans ses veines et s’exprime à chaque coup de talon.
