Miguel Fernández Rivas, plus connu sous le nom de « El Yiyo », est né à Barcelone en 1996, dans la ville de San Roque. Il a commencé sa carrière de danseur à l’âge de sept ans et a effectué sa première tournée à Taiwan en tant que tête d’affiche du spectacle « Flamenco puro » devant 1500 personnes. Il a reçu une formation approfondie en danse classique et contemporaine, ce qui lui a permis d’élargir ses ressources et ses talents.
À 18 ans, il a été la tête d’affiche de plus de 20 festivals nationaux et internationaux, notamment avec son spectacle « El Yiyo : Sueño Flamenco », avec lequel il s’est produit dans des lieux emblématiques de Barcelone. Il a partagé la scène et l’affiche avec de grandes figures de la scène flamenca actuelle comme Mayte Martín, Duquende, Estrella Morente, Chicuela, « La Argentina », « El Capullo de Jerez », Juan Ramón Caro, « Pitingo », Miguel Poveda, « Farruquito », Juan de Juan, Eva la Yerbabuena, « Duquende », Guadiana, Montse Cortés ou Pedro « El Granaíno », entre autres.
Il a récemment été le protagoniste du clip vidéo de « Pa que brille » de la chanteuse C. Tangana et a captivé le monde de la mode dans différentes collaborations. Avec ses frères, « El Tete » et « El Chino », ils forment les pièces « El Yiyo & su Troupe » et « Júbilo », des pièces qui mettent en valeur la fête familiale sans laisser de côté leurs styles personnels. Il possède un magnétisme sur scène qui a captivé les critiques et le public au point qu’il est aujourd’hui la nouvelle star de la danse flamenco.
Les 2 et 3 août, le maestro nous offre deux nuits inoubliables dans le tablao le plus ancien du monde. Une expérience intime et puissante qui ne peut être vécue qu’en direct.
La passion porte des noms cette semaine au Tablao 1911. Préparez-vous à ressentir l'art dans sa forme la plus pure avec une distribution de luxe qui promet des nuits inoubliables au cœur de Madrid.
Cette semaine, l’un des noms les plus marquants du flamenco actuel brille à nouveau sur notre tablao : José Maya.
Il y a des musiciens qui ont du compás, et puis il y a Lucky Losada, qui EST le compás.
Cette semaine, le moteur de notre tablao porte son nom.
Dans le flamenco, on dit qu’un jeu “a du poids” quand il a des racines, de la vérité et du compás. Cette semaine, le jeu qui règne au Tablao 1911 est celui de David Cerreduela.
Il y a des danseuses qui apprennent le flamenco. Et puis il y a celles, comme Vanesa Coloma, qui l’ont dans le sang. Madrid coule dans ses veines et s’exprime à chaque coup de talon.
