Née à Santander, Paula séduit par son charme et son énergie, offrant un spectacle unique.
Paula a commencé à danser à l’âge de quatre ans au Centro Autorizado de Danza Armengou et a ensuite poursuivi ses études en danse classique et contemporaine avec Gema de Beraza, en danse espagnole avec Carmen Armengou et en flamenco avec Paz Díaz.
En 2007, elle termine ses études à Madrid, au Centro de Danza Española y Flamenco Amor de Dios avec des professeurs tels que Truco, María Juncal, Alfonso Losa, Pepa Molina, et plus exclusivement avec la professeure Merche Esmeralda.
En 2011, elle a suivi des cours à Séville avec Juana Amaya, Andrés Peña et Ramón Martínez et en 2009 avec Mercedes Ruiz à Jerez de la Frontera. L’année suivante, elle poursuit sa formation avec Rocío Molina à Barcelone (2010) et avec Eva Yerbabuena à Barcelone (2013).
En 2021, Paula participe au Festival Flamenco de las Minas, le concours de flamenco le plus prestigieux d’Espagne que tout artiste souhaite remporter. Elle remporte le premier prix dans la catégorie « desplante », avec un sublime Taranto.
Depuis 2014, elle travaille régulièrement dans des tablaos madrilènes tels que « La Taberna de Mister Pinckleton », « La estación de los Porches » et « Casapatas ». Depuis fin 2017, elle est une danseuse régulière de l’excellent tablao « Cardamomo », partageant la scène avec Juan Andrés Maya et Antonio Canales.
Elle dirige actuellement sa propre compagnie. Son dernier spectacle « Mi Tarara » a été créé en octobre 2018 devant une salle comble de 600 personnes au théâtre Casyc de Santander.
Les 2 et 3 août, le maestro nous offre deux nuits inoubliables dans le tablao le plus ancien du monde. Une expérience intime et puissante qui ne peut être vécue qu’en direct.
La passion porte des noms cette semaine au Tablao 1911. Préparez-vous à ressentir l'art dans sa forme la plus pure avec une distribution de luxe qui promet des nuits inoubliables au cœur de Madrid.
Cette semaine, l’un des noms les plus marquants du flamenco actuel brille à nouveau sur notre tablao : José Maya.
Il y a des musiciens qui ont du compás, et puis il y a Lucky Losada, qui EST le compás.
Cette semaine, le moteur de notre tablao porte son nom.
Dans le flamenco, on dit qu’un jeu “a du poids” quand il a des racines, de la vérité et du compás. Cette semaine, le jeu qui règne au Tablao 1911 est celui de David Cerreduela.
Il y a des danseuses qui apprennent le flamenco. Et puis il y a celles, comme Vanesa Coloma, qui l’ont dans le sang. Madrid coule dans ses veines et s’exprime à chaque coup de talon.
